Index lexicologique québécois

Guide

La recherche s'effectue en différentes sections :

1. Recherche de mots ou d'expressions

On peut recourir à cette section lorsqu'on s'intéresse à une forme donnée. Il suffit de taper cette forme.

L'option « Chercher dans » permet d'obtenir la forme en question, mais seulement quand elle est utilisée dans les exemples de l'auteur ou dans son discours, ce qui est rendu dans la banque par la présence d'exposants.

2. Source

Le deuxième section permet de restreindre ou d'effectuer sa requête à certaines sources, en précisant un auteur, un sigle, un titre (que ce soit le titre d'un article ou encore celui d'un collectif ou d'un périodique), un éditeur, une ville ou des dates.

Pour ce qui est des auteurs, il faut écrire leur nom de famille en premier, suivi du prénom (par ex. Blanchet Claude, ou Blanchet* seulement si on ne connaît pas le prénom). Attention : Ne pas séparer le nom de famille du prénom par une virgule.

3. Typologie

Il est également possible de restreindre sa recherche au moyen du classement typologique des sources :

  • Le type de source
  • L'aspect normatif
  • La perspective historique
  • Le thème abordé
  • La variété

Par exemple, on pourrait demander toutes les sources qui portent sur le français de la Louisiane, celles qui concernent la faune ou la flore ou, encore, tous les ouvrages ayant pour objet des archaïsmes. Il est évidemment possible de combiner plusieurs des options offertes dans le formulaire pour une même requête.

4. Thème

La nomenclature de l'ILQ compte, en plus des formes proprement dites, un certain nombre d'entrées faisant référence à des sujets qui concernent de près ou de loin le lexique (par exemple Affixes, Chantiers (vocabulaire des ...), Diphtongaison, Prononciation de /R/). L'utilisateur qui s'intéresse à un aspect particulier du fonctionnement du lexique québécois plutôt qu'à des formes précises n'a qu'à consulter la liste des thèmes contenus dans l'ILQ. Il est à noter que le dépouillement ayant eu lieu en 2000 et dans les années suivantes a donné lieu à la création de plusieurs nouveaux thèmes; l'utilisateur ne s'étonnera donc pas si, pour certains thèmes, il n'y a que des sources récentes dans les résultats de recherche.

La recherche

Chaque section permet de préciser sa recherche, par exemple, on pourrait vouloir savoir si ouaouaron (première section) est connu en français louisianais (troisième section).

Une fois la ou les sections du formulaire remplis, l'utilisateur peut lancer la recherche en cliquant sur le bouton « Chercher », ou en appuyant sur Entrée. Il obtient alors une liste de relevés contenant les formes et ouvrages dans lesquels figurent les éléments recherchés. À tout moment, il est possible de modifier la recherche effectuée afin de restreindre la recherche si le nombre de résultats est trop élevé ou pour élargir la recherche s'il n'y a pas de résultats.

Affichage des résultats

Les résultats sont affichés sous forme de liste de relevés contenant les formes et ouvrages. Chaque forme est cliquable pour consulter la liste des références et les renvois de cette forme et pour consulter la liste des formes voisines.

Aussi, chaque ouvrage est cliquable pour consulter les détails de celui-ci : sa typologie, la liste des formes relevés et sa note s'il y a lieu. Le nombre de relevés et la présence d'une note sont indiqués, le cas échéant, dans une bulle sous celui-ci.

Liste des rubriques d'aide

Des précisions s'imposent dans le cas des mots pouvant s'écrire avec ou sans accent. Il faut savoir en effet que bebelle et bébelle sont traités comme deux formes différentes dans l'ILQ (même s'il s'agit du même mot). En outre, l'ILQ étant en constante mutation depuis ses débuts, les formes qu'il contient n'ont pas été saisies de manière uniforme quant à l'emploi des accents sur les majuscules; quand le travail sur l'ILQ a commencé, il n'était pas possible de saisir ces accents. C'est pourquoi on trouvera dans la banque à la fois la forme Grues (Ile aux ...) et celle Grues (Île aux ...). Pour contourner le problème, il a été décidé de ne pas distinguer les formes accentuées de celles qui ne le sont pas et de ne pas prendre en compte les majuscules. L'utilisateur n'aura donc qu'à taper une de ces formes et il obtiendra dans ses résultats de recherche tant les formes avec accent que celles sans accent.

Texte

Utilisez l'astérisque (*) pour ne chercher qu'une partie.

Exemples:

  • « *able » pour faire une recherche qui se termine par « able »
  • « herbe à* » pour pour faire une recherche qui débute par « herbe à »
  • « *lect* » pour faire une recherche qui contient « lect »

N'utilisez aucun astérisque (*) pour faire une recherche stricte.

Exemple : « main » pour faire une recherche qui contient uniquement « main »

Date

Utilisez le trait d'union pour limiter la recherche à une fourchette de dates.

Exemple: 1700-1750

Utilisez le symbole plus grand (>) pour chercher les dates supérieures ou égales à votre choix.

Exemple: >1950

Utilisez le symbole plus petit (<) pour chercher les dates inférieures ou égales à votre choix.

Exemple: <1867

L'exposant 1 signifie que la forme a été relevée dans un exemple faisant suite à un commentaire métalinguistique. L'exposant 2 signale que la forme est attestée dans le discours d'un auteur sans que celui-ci n'en donne d'explication. Ces exposants sont associés aux numéros de page dans les références.

Ce classement contient des renseignements sur la source elle-même. Les catégories qu'il renferme sont les suivantes :

  • Type de source : Sa nature, soit le type de source (chronique, thèse, répertoire lexicographique, etc.).
  • Aspect normatif : son rôle est d'indiquer si l'aspect normatif est présent; il s'agit donc d'une classification faite selon l'orientation de la source.
  • Perspective historique : a pour objet l'histoire des mots dont l'auteur traite, c'est-à-dire la perspective historique. Cette catégorie permet ainsi de savoir si les faits ont été classés selon leur origine et, si oui, de quelle origine il s'agit.
    • L'utilisateur doit tenir compte du fait que, sous la rubrique intitulée « Classement des faits dans des catégories distinctes », on trouve les textes comportant plusieurs parties spécialisées différentes. Par conséquent, si quelqu'un s'intéresse aux archaïsmes et qu'il veut être certain d'avoir toutes les données pertinentes, il devra, en plus d'effectuer une recherche avec cette catégorie, consulter les sources répertoriées sous « Classement des faits dans des catégories distinctes ». Par ailleurs, l'usager obtiendra, dans les catégories « Archaïsmes », « Anglicismes », « Dialectalismes », etc., la liste des sources traitant de façon plus particulière ces aspects de l'origine des mots. Cependant, on peut parfois trouver dans ces catégories des faits de langue qui ne font pas partie de la catégorie en question.
  • Thème abordé : a trait au secteur de vocabulaire à l'étude, en fait le thème qui y est abordé (faune et flore, par exemple).
  • Variété : touche la répartition géographique du vocabulaire recensé, soit la variété.
    • Dans ce dernier cas, l'usager devra considérer le fait que, en plus des sources listées dans la catégorie qui l'intéresse, d'autres peuvent se trouver sous la rubrique « Deux ou plusieurs variétés de français ». En effet, certains auteurs, à l'intérieur d'un même article, étudient plus d'une variété de français.

Ce peut être un mot simple (cabane), un mot composé (cabane-à-bon-Dieu), unsyntagme (cabane à sucre). Une forme peut également être une partie du mot recherché (caban), laquelle ouvre l'accès non seulement au mot cabane lui-même (et à tous les syntagmes, mots composés et autres dérivés dans lesquels il figure), mais en outre à plusieurs autres formes dérivées, telles que cabanage, cabané ou encabané, ou encore à des variantes orthographiques comme cabanne. Si l'on ne veut que la forme elle-même, il ne faut mettre aucun astérixe (*) pour chercher sa forme exacte.

Cet index est constitué de la liste des mots de la base qui précèdent et qui suivent dans l'ordre alphabétique le mot à l'étude. Il permet de trouver rapidement les formes pouvant être apparentées à celle qui l'intéresse. Pour consulter cet index, cliquer sur la forme en vedette dans les résultats de recherche, puis cliquer sur « Consulter les formes voisines ».

Notons que les formes de cet index sont interrogeables directement (sans qu'il soit nécessaire d'effectuer une nouvelle recherche avec la procédure habituelle). Il est possible de naviguer avant et après cette liste à l'aide de la pagination.

Dans l'ILQ, les mots composés ne sont pas nécessairement consignés dans l'ordre habituel de chacune de leurs composantes. En effet, on ne retrouvera pas le composé sans-allure ainsi répertorié, mais plutôt écrit allure (sans-...). Il suffit donc, lors de la recherche, de taper les deux mots sans le trait d'union.

L'utilisateur peut également interroger la banque avec l'un ou l'autre des mots formant le composé, mais il pourrait alors obtenir plusieurs formes sans rapport avec sa recherche. Enfin, il est également possible d'utiliser l'index des formes voisines pour trouver les variantes avec ou sans trait d'union d'une même forme. Toutefois, dans certains cas, le contenu de cet index pourrait s'avérer insuffisant, car les syntagmes qui contiennent la forme peuvent être nombreux et la variante avec trait d'union peut n'être listée qu'après ces syntagmes. C'est le cas notamment du syntagme poisson armé; si on consulte l'index, on n'y retrouvera pas la variante poisson-armé, puisque cette dernière forme est séparée de celle sans trait d'union par plusieurs syntagmes. Si l'utilisateur veut contourner le problème, il peut se servir des petites flèches situées en haut et en bas de l'index; s'il clique sur l'une de ces dernières, d'autres formes (également interrogeables) apparaîtront à l'écran.

Ce type de renvoi permet d'établir un rapprochement entre des formes qui doivent être mises en rapport pour des raisons étymologiques ou autres. Par exemple, pour le mot drave, il faut examiner les mots dérive et drive; pour pécane, il faut tenir compte de pacane et, pour pédale, de paddle. Ces renvois sont affichés au bas du détail d'une expression.

Dans la bibliographie de l'ILQ, chaque sigle renvoie à un texte particulier dont on a répertorié les formes afin de les inclure dans la nomenclature de l'index. Un sigle est généralement formé d'une partie du nom de l'auteur du texte et d'une partie d'un mot de son titre (le plus révélateur possible). Par exemple, le sigle PérPrép fait référence à un texte de Louise Péronnet intitulé « Les prépositions dans le parler acadien du sud-est du Nouveau-Brunswick ». Quelquefois, lorsque l'auteur d'un texte n'a pas signé son ouvrage ou encore lorsqu'il s'agit d'un dictionnaire ou d'un glossaire rédigé par plusieurs personnes, le sigle ne contient pas de nom d'auteur. Il pourra dans certains cas être formé de deux mots du titre (DictBarb : Dictionnaire des barbarismes et des solécismes les plus ordinaires en ce pays [...]) ou encore de la première lettre des mots du titre (GPFC : Glossaire du parler français au Canada). Attention : Si l'on veut faire une recherche par sigle, il faut le taper au long.

De la même manière que les mots composés, les syntagmes répertoriés dans l'ILQ ne figurent pas toujours selon l'ordre « normal » des composantes dans le discours. En effet, si centre commercial et maison mobile sont consignés selon l'ordre habituel, courir la galipote ne l'est pas. Il est plutôt présenté sous galipote (courir la ...). L'usager peut taper les deux mots du syntagme (courir galipote), peu importe leur ordre, et il accédera à galipote (courir la ...). Il pourrait également demander un des mots du syntagme, galipote ou courir, ce qui lui donnera le même résultat (mais l'opération de sélection des formes pourrait être plus longue).

Chaque forme étant orthographiée dans l'ILQ exactement comme elle l'est dans la source d'où elle est tirée, il y a souvent plusieurs variantes orthographiques (qui sont aussi des « formes ») pour un même mot. Plusieurs moyens peuvent être utilisés pour retrouver ces variantes. Cependant, toutes les variantes d'un même mot ne sont pas nécessairement traitées de la même façon dans l'ILQ.C'est pourquoi il pourra s'avérer utile de cumuler plusieurs des procédés décrits ci-dessous pour récupérer le plus grand nombre de variantes possible. En effet, certaines formes, comme wagon, peuvent donner lieu à une foule de variantes orthographiques et phonétiques figurant plus ou moins loin du mot de base dans l'ordre alphabétique. Ainsi, les variantes de wagon commençant par la séquence wag- (wagin, waggine, waguine, wâguine, etc.) ne sont pas accompagnées d'un renvoi à la forme wagon parce qu'elles sont rapprochées dans l'ordre alphabétique; il faudra, pour cette raison, que l'utilisateur ait recours à l'index des formes voisine pour les localiser. Par contre, les variantes commençant par la séquence ouag- (ouagan, ouagin, ouâguine, etc.) sont suivies d'un renvoi à la forme de base, wagon, et c'est en effectuant la requête avec ce mot qu'on pourra retrouver ces dernières variantes. Voir les explications suivantes qui présentent plus précisément les différentes façons de recueillir les variantes d'un mot.

  • Il peut s'avérer utile de ne taper qu'une partie du mot qu'on étudie. Par exemple, en tapant belle (finale du mot bébelle), on obtiendra bebelle, bébelle, beubelle, etc., dans la sélection des entrées. Cette façon de procéder permet de découvrir certaines variantes insoupçonnées.
  • Variantes accompagnées d'un renvoi immédiat
    • Ce type de renvoi, qui correspond à la forme mise entre parenthèses à la suite d'une autre forme, par exemple bouère (boire), indique à l'utilisateur qu'une forme de base fait en quelque sorte le lien entre plusieurs orthographes différentes d'un mot. En effectuant une recherche avec cette forme de base, l'utilisateur retrouvera la ou les formes qui y sont rattachées, donc les variantes reliées au mot qu'il étudie. Ainsi, si l'on s'intéresse au verbe boire en français québécois, on tapera ce mot dans la case réservée à l'interrogation et on obtiendra les variantes de ce verbe, conjuguées ou non (bouère, bouére, boyait, boiver, etc.), en plus, bien entendu, des syntagmes, mots composés ou dérivés dans lesquels boire figure.
    • Si l'utilisateur fait l'étude d'un mot d'origine anglaise ayant subi des transformations, notamment une adaptation au plan morphologique, comme dans le cas des verbes loafer et braker, il vaut mieux qu'il effectue sa recherche avec le mot anglais de base pour augmenter ses chances de trouver. Par conséquent, pour recueillir les variantes orthographiques du verbe anglais adapté loafer (p. ex. laofer, lauffer et lôfer), la recherche doit se faire avec la base verbale anglaise loaf (qui sert de renvoi immédiat) et non avec la forme loafer elle-même.
  • Variantes non accompagnées d'un renvoi immédiat
    • Les variantes d'une même forme qui sont rapprochées dans l'ordre alphabétique n'ont, en général, pas fait l'objet de renvois immédiats dans l'ILQ. Il peut s'agir de formes dont l'une des consonnes est redoublée ou non, par exemple sciotteux (aussi écrit scioteux), d'un mot emprunté à l'anglais, comme smart (souvent orthographié smatte, smat, etc.), d'une forme dont seule la finale varie (cent / cenne, bumper / bumpeur). Puisque l'ILQ n'a pas eu recours à une forme de base en renvoi immédiat pour ce type de variantes, l'utilisateur pourra se servir de l'index des formes voisines qui présente, dans l'ordre alphabétique, les entrées qui précèdent et qui suivent la forme recherchée.
    • Les variantes dues à différentes prononciations à l'initiale du mot (p. ex. argarder / regarder, beluet / bleuet, farlouche / ferlouche) font l'objet d'un traitement à part. Dans ce cas-ci, c'est l'utilisateur de la banque qui doit faire les liens entre les diverses variantes possibles d'un mot; pour ce faire, il consultera la liste des variantes phonétiques présentées ci-dessous. Ainsi, quand la forme qu'il étudie commence par une des syllabes contenues dans cette liste, il y aura lieu de faire une recherche en interrogeant la banque avec les autres variantes possibles pour récupérer tous les renseignements pertinents. Par exemple, la consultation de la liste des variantes phonétiques permet de se rendre compte que les mots qui commencent par la syllabe ber- peuvent être prononcés à l'initiale de plusieurs façons (bar-, beur-, bor-, bour-, br-, bre-); donc, si l'on étudie la forme berceau, non seulement faudra-t-il lancer la recherche avec ce mot, mais en outre substituer à la syllabe ber- celles qui figurent à sa suite dans la liste. On obtiendra alors les variantes barceau, beurceau, borceau.
  • Variantes phonétiques
    • a- (an-, en-)
    • an- (a-, en-)
    • en- (a-, an-)
    • am- (emm-)
    • emm- (am-)
    • ar- (er-, eur-, or-, ra-, re-, ré-)
    • er- (ar-, eur-, or-, ra-, re-, ré-)
    • eur- (ar-, er-, or-, ra-, re-, ré-)
    • or- (ar-, er-, eur-, ra-, re-, ré-)
    • ra- (ar-, er-, eur-, or-, re-, ré-)
    • re- (ar-, er-, eur-, or-, ra-, ré-)
    • ré- (ar-, er-, eur-, or-, ra-, re-)
    • ar- (har-, her-)
    • har- (ar-, her-)
    • her- (ar-, har-)

    • bar- (ber-, beur-, bor-, bour-, br-, bre-)
    • ber- (bar-, beur-, bor-, bour-, br-, bre-)
    • beur- (bar-, ber-, bor-, bour-, br-, bre-)
    • bor- (bar-, ber-, beur-, bour-, br-, bre-)
    • bour- (bar-, ber-, beur-, bor-, br-, bre-)
    • br- (bar-, ber-, beur-, bor-, bour-, bre-)
    • bre- (bar-, ber-, beur-, bor-, bour-, br-)
    • bel- (bl-, ble-)
    • bl- (bel-, ble-)
    • ble- (bel-, bl-)

    • çar- (cer-, sar-, ser-, seur-)
    • cer- (çar-, sar-, ser-, seur-)
    • sar- (çar-, cer-, ser-, seur-)
    • ser- (çar-, cer-, sar-, seur-)
    • seur- (çar-, cer-, sar-, ser-)

    • ch- (tch-)
    • tch- (ch-)
    • cor- (cre-, quer-, queur-)
    • cre- (cor-, quer-, queur-)
    • quer- (cor-, cre-, queur-)
    • queur- (cor-, cre-, quer-)

    • dar- (der-)
    • der- (dar-)
    • de- (ed-)
    • ed- (de-)
    • di- (gu-, gui-, y-)
    • gu- (di-, gui-, y-)
    • gui- (di-, gu-, y-)
    • y- (di-, gu-, gui-)

    • é- (es-)
    • es- (é-)
    • es- (se-)
    • se- (es-)
    • es- (ex-)
    • ex- (es-)
    • esc- (exc-)
    • exc- (esc-)
    • esc- (sc-)
    • sc- (esc-)
    • esp- (exp-)
    • exp- (esp-)
    • esp- (sp-)
    • sp- (esp-)
    • esqu- (squ-)
    • squ- (esqu-)
    • est- (ext-)
    • ext- (est-)
    • est- (st-)
    • st- (est-)

    • far- (fer-, for-, four-, fr-, fre-, fré-, frè-, fro-, frou-)
    • fer- (far-, for-, four-, fr-, fre-, fré-, frè-, fro-, frou-)
    • for- (far-, fer-, four-, fr-, fre-, fré-, frè-, fro-, frou-)
    • fr- (far-, fer-, for-, four-, fre-, fré-, frè-, fro-, frou-)
    • fré- (far-, fer-, for-, four-, fr-, fre-, frè-, fro-, frou-)
    • frè- (far-, fer-, for-, four-, fr-, fre-, fré-, fro-, frou-)
    • fro- (far-, fer-, for-, four-, fr-, fré-, frè, fre-, frou-)
    • frou- (far-, fer-, for-, four-, fr-, fre-, fré-, frè-, fro-)

    • gar- (gor-, gour-, gr-, gra-, gre-, gré-, guer-)
    • gor- (gar-, gour-, gr-, gra-, gre-, gré-, guer-)
    • gour- (gar-, gor-, gr-, gra-, gre-, gré-, guer-)
    • gr- (gar-, gor-, gour-, gra-, gre-, gré-, guer-)
    • gra- (gar-, gor-, gour-, gr-, gre-, gré-, guer-)
    • gre- (gar-, gor-, gour-, gr-, gra-, gré-, guer-)
    • gré- (gar-, gor-, gour-, gr-, gra-, gre-, guer-)
    • guer- (gar-, gor-, gour-, gr-, gra-, gre-, gré-)
    • gear- (ger-, jar-)
    • ger- (gear-, jar-)
    • jar- (ger-, gear-)
    • gn- (ni-)
    • ni- (gni-)

    • mar- (mer-)
    • mer- (mar-)

    • nar- (ner-)
    • ner- (nar-)

    • oué- (vé-, voi-, wé-)
    • vé- (oué-, voi-, wé-)
    • voi- (oué-, vé-, wé-)
    • wé- (oué-, vé-, voi-)

    • par- (per-, pre-, pré-, por-)
    • per- (par-, pre-, pré-, por-)
    • pre- (par-, per-, pré-, por-)
    • pré- (par-, per-, pre-, por-)
    • por- (par-, per-, pre-, pré-)

    • ra- (ran-, re-, ré-, ren-)
    • ran- (ra-, re-, ré-, ren-)
    • re- (ra-, ran-, ré-, ren-)
    • ré- (ra-, ran-, re-, ren-)
    • ren- (ra-, ran-, re-, ré-)

    • seur- (sour-, sur-)
    • sour- (seur-, sur-)
    • sur- (seur-, sour-)

    • tar- (ter-, tr-, tré-)
    • ter- (tar-, tr-, tré-)
    • tr- (tar-, ter-, tré-)
    • tré- (tar-, ter-, tr-)

    • var- (ver-, veur-, vor-, vour-)
    • ver- (var-, veur-, vor-, vour-)
    • veur- (var-, ver-, vor-, vour-)
    • vor- (var-, ver-, veur-, vour-)
    • vour- (var-, ver-, veur-, vor-)